* Developpeur Prestashop Aix-en-Provence
Developpeur Prestashop Aix-en-Provence
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Dans la programmation informatique, un système se fondant sur le fait d'empêcher la redite de code au travers de l'ensemble d'une application pour faciliter la maintenance, le test, le débogage et les évolutions de cette dernière,est spécifié par la formule :ne vous répétez pas (Don't Repeat Yourself en anglais, aussi désigné par l'acronyme DRY). « Dans un système, toute connaissance doit avoir une représentation unique, non-ambiguë, faisant autorité » Cette expression, rédigée par Andy Hunt et Dave Thomas dans leur livre The Pragmatic Programmer ,définie la philosophie DRY.Les auteurs servent de cette règle pour introduire les bases de données, les plans de tests, le système de réalisation logiciel et aussi la documentation logicielle1. Le changement d'un élément d'un système ne modifie pas les autres éléments non liés rationnellement lorsque le principe DRY est bien employé. En outre, tous les éléments liés logiquement changent constamment, de manière prévisible et restent synchronisés. D'autre part, en utilisant les moyens et les sous-routines dans leur code, Thomas et Hunt se fondent sur les générateurs de code source, les systèmes de construction automatique, et les langages de scripts pour appliquer le principe DRY à travers les multiples phases de constitution d'un logiciel. En architecture aménagée par les modèles ce système prédomine, dans lequel les artefacts logiciels sont provenus d'un modèle objet central décrit dans un langage tel qu'UML. Le code DRY est élaborée par changement de données et les générateurs de code qui évitent au programmeur de copier-coller du code. Le code DRY facilite la maintenance de systèmes logiciels complexes, depuis le moment où les transformations de données sont faciles à créer et maintenir. Des outils tels que les annotations, XDoclet et XSLT sont des exemples de technique de codage DRY. Les EJB 2.0 sont l' exemple de système exigeant une duplicata d'information, ils requièrent une duplication d'information dans le code Java, en plus dans les fichiers de configuration. Indicateur de format La naissance de ce modèle de magic number était dans les versions originels du code source de la version 7 d'Unix. Quoiqu'il ait disparu son sens inné le terme est resté dans le lexique de l'informatique. Quand Unix fut déployé sur le premier DEC PDP-11/20s, celui-ci n'avait pas de mode de protection de la mémoire et utilisait des références mémoires re-atables (en)2. Alors, les versions avant la version 6 d'Unix lisent un fichier exécutable dans la mémoire en passant à l'offset 0. Avec le développement de la pagination, les versions suivantes d'Unix ont vu le développement des headers indiquant les composants d'un fichier exécutable. Une instruction de saut placée au début du header a été développée pour permettre d'exécuter le programme directement .