* Integrateur Wordpress Aix-en-Provence

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Le mode exec(),dans le Lions' Commentary on UNIX 6th Edition, with Source Code (en) de la version 6 d'Unix,émet l'image digital d'un exécutable à partir du système de fichiers. Les huit premiers octets constituent le header qui comprend la taille du programme (segment text) et les variables initialisées (segment global). Le premier mot de seize bits de ce header est comparé à deux constantes afin de déterminer si l'exécutable emploie des références mémoires réatables, le système de page en lecture seule récemment innové ou des pages partagées pour les consignes et les données4. Dans les sixième et septième versions d'Unix, le double rôle de cette constante du début du header n'était pas défini,en revanche le bit de poids fort de cette constante était l'opcode de l'instruction de saut sur un PDP-11 (octal 000407 ou hex 0107). Quand on adjoint sept au compteur de programme d'un programme exécuté, celui-ci va utiliser le service exec() pour démarrer.
Le service exec() formule le header du fichier exécutable (méta) à parti d' un buffer de l'espace noyau mais l'image exécutable est affichée dans l'espace utilisateur et alors sans pouvoir exploiter la constante de saut. Les magicnumber ont alors été innovés dans l'éditeur de liens et le chargeur d'Unix ; ils ont dû être utilisés ultérieurement dans les programmes de test délivrés avec les versions 6 et 7 d'Unix.
Dans la version 7,la constante est ,en premier ,atée à la variable ux_mag5 et fut ensuite signalée par le terme magicnumber,donc elle n'est pas lue immédiatement. Etant donné qu'il y avait alors dans cet Unix environ 10 000 lignes de code et multiples constantes utilisées, ce nom est assez étonnant pour une constante, au moins autant que le commentaire2 laissé dans la partie relative au modification de contexte de la version 6 du gestionnaire d'applications d'Unix. Apparemment ,c'est pour cela que le terme a par la suite montré le type d'exécutable, puis déployé aux systèmes de fichiers et étendu encore pour désigner un exécutable utilisant un typage fort.
Quelques nombres sont avenus d'un typage fort des données ou de leur multiplexage. Ils donnent la possibilité aux programmes abordant l'information d'identifier les données qui suivent et particulièrement de distinguer le format de données utilisé.
Le terme de magicnumber peut également se conformer à l'utilisation de constantes numériques non-nommées dans le code source d'un programme. l'usage de ces constantes contraind les anciennes règles de programmation issues de COBOL, de FORTRAN et de PL/I9, ne rend pas plus clair le choix de cette valeur10 et occasionne fréquemment des erreurs de programmation. Selon certains, la dénomination de tous les constantes rend le code plus lisible, plus compréhensible et plus aisément maintenable