* Integrateur Wordpress Ambérieu-en-Bugey

Integrateur Wordpress Ambérieu-en-Bugey

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La Commission générale de terminologie et de néologie en France, a destiné le mot bloc-notes8, ce qui rend son utilisation obligatoire pour les administrations et services de l'État . Ce mot est en concurrence avec la traduction des mots notepad et notebook déjà utilisés par ailleurs en informatique. En plus, il n'admet pas de dérivés évidents comme « blogosphère ».
D'autres traductions se sont développées çà et là au sein de communautés de blogueurs, sans connaître pour l'instant un grand suc :
Selon la plupart des blogueurs, Journal Web, webjournal ou joueb, qui ne distinguent pas le journaliste du blogueur. Journal extime n'est pas issu du Web mais emprunté à l'écrivain Michel Tournier. Il indique étymologiquement un journal intime public. Ce terme désigne en fait plutôt un usage possible pour un blog (présenter sa propre vie), le blog étant un média possible pour cet usage. Il existe des blogs à usage très différents (par exemple d'analyse de l'actualité).
Certains stes blogueurs ont préconisé bloig (mélange des mots « blog » et « loi ») comme traduction de l'anglais blawg (formé sur les mots « blog » et « Law », ce dernier signifiant « loi »). La sonorité étant modifiée par le composé de ce nouveau mot, « blogue dique » est proposé par l'OQLF.
A quoi congédie le terme blog ? Les œuvres d'un dessinateur, les nouvelles activités d'une association, un journal intime anonyme, des poèmes, l'opinion d'une journaliste, le carnet de bord d'un photographe, des satires d'hommes s, les vidéos d'une classe de collège, un roman en construction, les anecdotes quotidiennes d'une mère de famille... La liste exhaustive et surprend par sa diversité. Tout un vocabulaire exige ses différents usages : vidéoblog (blog vidéo), bdblog ou webcomic (blog BD), photoblog (blog photo), audioblog (blog audio)...
Tous ces emplois ne sont pas permis par le concept blog. Le phénomène connaît son suc grâce à la grande facilité de publication proposée par des logiciels automatisés de publication, une grande liberté éditoriale (il n'y a généralement pas de contrôleur chargé avant publication de la relecture d'un billet) et une grande capacité d'interaction en temps réel avec le lectorat (via les commentaires et le courrier électronique).
Quelques blogueurs prennent la peine de rédiger tous les jours, toutes les semaines, tous les mois... Lecteurs et auteurs entretiennent de facto un contrat comme au sein du pacte autobiographique : tout est-il vrai ? Quels sujets considérer ? A quelle fréquence ? Sous quelle optique ?