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Integrateur Typo3 Angers





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Les bibliothèques logicielles les plus courantes sont celles soutenues avec les langages de programmation, que l'on appelle bibliothèques standards. C'est dans ce sens que si un programme emploie le langage C et uniquement sa bibliothèque standard, il pourra être porté simplement en le recompilant sur tous les environnements ayant un compilateur C (ce qui est le cas sur la quasi-totalité des systèmes d'exploitation existants).
La portabilité d'un programme semble bien dans la mesure où elle permet à ce dernier de charmer une audience plus large.
l'inconvénient est qu'il faut se limiter à des bibliothèques communes, qui sont bien souvent pauvres comparé à ce qui est fourni avec un environnement d'exécution particulier. Ainsi, les bibliothèques standards du C et du C++ ne connaissent pas le réseau, les processus légers ou encore les interfaces graphiques.
C'est en partie pour cela qu'a été créée la norme POSIX, qui développe plusieurs fonctionnalités que doit fournir un système UNIX, comme ses commandes de base et son interface de programmation. POSIX permet de faire des choses bien plus policées qu'en utilisant carrément les bibliothèques standard du C et C++. Ainsi, POSIX connaît le réseau, les processus légers et a des fonctionnalités de système temps réel.
Même si POSIX offre des fonctionnalités distinguées, il en manque toujours une qui est beaucoup usagée de nos jours, l'interface graphique. C'est pour cette raison que des bibliothèques telles que Qt, GTK+ ou encore wxWidgets ont vu le jour. Mais ces dernières ne se limitent pas à l'interface graphique et offrent également une interface de programmation pour le réseau, l'ac aux fichiers ou encore la manipulation de chaîne de caractères.
La portabilité d'un programme peut se faire à plusieurs degrés. Pour l'instant, les bibliothèques logicielles telles que POSIX ou Qt se limitent à la portabilité au niveau du code source. Mais il existe d'autre niveaux, comme celui au niveau du bytecode ou encore, mais plus rare, au niveau de l'exécutable.
La portabilité au niveau du code source exige la disponibilité de l'interface de programmation sur tous les environnements d'exécution cibles. À partir de cela, il suffit1 de recompiler le code source avec les bonnes bibliothèques.
La portabilité au niveau du code source apparait également dans les langages interprétés, où cette fois-ci, c'est la disponibilité de l'interpréteur et de sa bibliothèque standard qui est nécessaire.
Le bytecode s'apparente comme une sorte de code intermédiaire, que l'on peut considérer comme « à moitié compilé » ou « pseudo-compilé ». Ce code n'est pas destiné à être exécuté directement par le système d'exploitation comme tout programme compilé






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