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Trois composantes de l'utilisabilité constituent les buts d’utilisabilité, i.e. l'efficience, l'efficacité et la satisfaction2. Chaque définition doit se référer sur les caractéristiques de la tâche que l'outil évalué doit supporter2. En pratique, Mayhew4 propose que la définition des buts d’utilisabilité se base sur :
Les profils utilisateurs identifiés ; les tâches à réaliser et les buts de l'activité de travail supportés par l'outil
Clairement, les buts d’utilisabilité doivent intégrer le processus de Gestion du risque lié à l'outil pour les outils utilisés pour des activités sensibles (par exemple, des dispositifs médicaux, les interfaces de contrôle de centrales nucléaire). Ces « buts d’utilisabilité pour la sécurité » permettent d’empêcher qu’un outil ne soit mis sur le marché ou installé alors que des èmes de conception ne provoquent des erreurs d’utilisation. De ce fait, les risques provenant d’erreurs d’utilisation doivent être identifiés ; ensuite, pour chacun de ses risques, des buts d’utilisabilité doivent être définis en tenant compte de la sévérité des conséquences potentielles de ces risques8 (par exemple, en termes de sécurité de l'opérateur, du patient, de l'environnement ou d’éléments financiers).
Pour un outil net, plusieurs buts d’utilisabilité s’activent pour l'évaluation. Si certains de ces buts sont liés à des ématique de sécurité alors que d’autres peuvent être considérés comme des « buts d’utilisabilité de confort », tous ne vont pas solr les mêmes niveaux d’utilisabilité à atteindre.
Les buts sont décidés soit de manière qualitative, soit de manière quantitative4. Malgré cela, quelle que soit leur nature, une définition opérationnelle est nécessaire.
L'accomplissement des buts d’utilisabilité qualitatifs peut être considéré, grâce à l'analyse de protocoles verbaux. Ces buts peuvent aussi être métamorphosés en buts quantifiable l'affordance est perçue comme étant la capacité d’un système ou d'un produit à prévoir sa propre utilisation. Le terme est beaucoup plus employé dans différents champs, notamment la psychologie cognitive, la psychologie de la perception, la psychologie ergonomique, le design, l'interaction homme-machine et l'intelligence artificielle.
Deux grandes voies de définition se particularisent :
C’est la psychologie qui développe bien l'affordance : elle renvoie à « toutes les possibilités d'actions sur un objet ». Cette définition s'est ensuite restreinte aux seules possibilités dont l'acteur est conscient ; par la suite le terme a été utilisé en ergonomie de manière encore plus restreinte : pour se référer à la « capacité d’un objet à déterminer sa propre utilisation », par exemple, sans qu'il ne soit nécessaire de lire un mode d'emploi. Cela s’appelle également utilisation intuitive