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En informatique, l'étendue au sein de laquelle un identifiant est associé détermine la portée (scope en anglais) de cet identifiant .Cette portée peut être lexicale ou dynamique.
Une section du code source caractérise la portée lexicale. Au sein de cette section, l'identifiant n'a qu'un seul rapport.
Un identifiant à portée globale est allié dans la totalité du code source (parfois juste après sa déclaration ou sa définition).Toutes les fonctions ont une portée globale (exemple : C) dans beaucoup de langages de programmation. On parle de variable globale lorsqu'un identifiant à portée globale affecte une variable. Celles-ci s'emploient spécifiquement pour enregistrer des données importantes à de nombreux endroit du programme, un cas particulier étant les verrous.
Un identifiant à portée locale n'est allié qu'au sein d'une élaboration syntaxique du langage, communément celle où il est signalé. Lorsqu'un identifiant à portée locale détermine une variable, on parle dans ce cas de variable locale. En prime, dans la majorité des langages, un identifiant à portée locale voile tout potentiel identifiant de même nom, mais de plus grande portée. Signaler deux fois le même identifiant dans la même portée peut être observer comme une erreur, ou comme une redéclaration, selon le langage et le contexte.
La base de portée lexicale a été plantée pour la première fois dans LISP 1.5. Il fut additionné à Algol 60, dont les provenants sont spécifiquement à portées exclusivement lexicales (C, Pascal). Scheme, qui en fut un promoteur, est un dialecte Lisp qui n'a aussi de portées que lexicales. Common Lisp, lui, jouit à la fois de portées lexicales, importées de Scheme, et de portées dynamiques.
Dans une étendue dynamique déterminée une portée dynamique est identifié par un point d'entrée et un point de sortie pendant l'exécution. Le lien d'un identifiant à portée dynamique camoufle un lien précédent dans l'étendue dynamique de la forme qui effectue ce nouveau lien. Une variable à portée dynamique, nommée variable dynamique, permet donc de propager dans la pile d'appels une modification à un environnement.
Des langages non fonctionnels acceptent aussi une portée dynamique, spécialement ceux dérivés de Forth (un langage à pile) dont PostScript. La manière employée est d'utiliser une seconde pile (autonome de la pile des paramètres ou de la pile de retour des fonctions, les deux piles étant souvent communes) incluant pour chaque position empilée une référence à un dictionnaire de variables. Si une variable ne peut être trouvée dans le premier dictionnaire référencé au sommet de la pile, la recherche continue dans le (ou les) dictionnaires plus bas dans la pile.