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Définir toute une collection de régles est nécessaire si on veut faire la liaison entre l'architecture et l'implémentation. Ces régles offront l'opportunité de distinguer quand l'implémentation sera en train de diverger de l'architecture.
Deux genres de règles sont à identifier: les règles structurelles4 et les règles d'interactions5. Les règles structurelles concernent l'existence des mêmes entités et les relations qui les associent alors que les règles d'interactions concernent prncipalement la présence des appels de méthode dans le même ordre.
Avec cet ensemble de règles6, lors de l'analyse il y a trois types de résultats possibles:
Convergence : La relation établie s'applique à celle définie dans l'architecture.
Divergence : La relation établie diverge de celle définie dans l'architecture.
Absence : La relation est présente dans l'architecture mais n'est pas établie.
Maintenant c'est suffisant d'examiner chaque divergence et absence une par une. La technique la plus répandue est de changer le code pour qu'il concorde à l'architecture. Cependant, il est possible de devoir changer l'architecture du projet en raison de èmes techniques lors du développement.
Les causes7 principales des dégradations logicielles sont les modifications apportées au code, à la documentation dans le non-respect des règles architecturales. Ces modifications sont indispensables pour suivantes raisons.
l'une des essentielles causes des dégradations dans les architectures est l'accroissement du besoin client. Le client n'est pas toujours préparé de ce qu'il attend jusqu'à ce qu'il ait une première version du produit. Il essaye alors d'apporter des changements aux caractéristiques. Cette difficulté est aussi constatée lorsque les caractéristiques ne sont pas assez précises. Ces deux points définissent les deux principaux types de vieillissement logiciels : les défaillances engendrées par les changements des propriétaires du produit suite aux évolutions du besoin, et le résultats des changements effectuées suite à des incompréhensions des deux parties (client/concepteur du logiciel) lors de la conception et du développement du produit.
Une autre cause de dégradations de logicielles est le matériel auquel se rattache le logiciel. Les architectures logicielles sont créés dans le respect du matériel dont le logiciel dépend. Au fil du temps, le matériel est susceptible de changer8 et cela peut causer une instabilité et compromettre l'architecture prévue.
Les changements amenés au logiciel lors de sa durée de vie produisent un ème d'allocation mémoire9. En effet, plus il y a des changements dans le code , plus la taille du programme évolue, et plus la taille du programme évolue plus la mémoire demandée au système est conséquente. Il est difficile de prédéfinir la mémoire à allouer.
En vue de s'opposer aux dégradations logicielles, il y’a plusieurs solutions permettant de ralentir le vieillissement1 mais également de garantir la qualité tout en essayant de garder un équilibre entre l'architecture et l'implémentation.






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