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Les règles sur des principes éthiques ont été définies par le mouvement pour le logiciel libre, celui pour l'open source (qui en découle) a proposé une traduction fonctionnelle. Quelques différends relatifs au respect de ces principes, ont été déclenchés quelques temps après. Les défenseurs du logiciel libre considèrent que le logiciel libre est une affaire de philosophie, tandis que les partisans de l'open source refusent toute philosophie13.
Une controverse avec Richard Stallman et la Free Software Foundation14 qui regrettaient la mise en avant des principes techniques aux dépens de l'éthique, a été provoquée par cette initiative. Richard Stallman développe aussi pourquoi le logiciel libre est meilleur que l'open source15 et pourquoi l'« open source » passe à côté du ème que soulève le logiciel libre16. Du moins, les définitions officielles du logiciel libre par la Free Software Foundation et de l'open source par l'Open Source Initiative renvoient dans la pratique aux mêmes licences, à quelques rares exceptions près (versions 1.x de l'Apple Public Source License par exemple17).
Au moment des premiers ordinateurs, le matériel informatique était censé constituer la source de revenus, le logiciel n'étant qu'un moyen d'en faciliter la vente. l'ac au code source était normal, car nul n'achetait un ordinateur sans disposer d'une équipe de programmeurs. Bien avant même la création d'Unix, les milieux professionnels et universitaires partageaient volontiers les logiciels et codes sources, et les constructeurs cédaient le leur pour rien jusqu'à ce que les lois antitrust le leur sent afin de permettre l'exercice d'une concurrence dans ce domaine18, 19. En outre, il n'était pas encore tout à fait clair que le droit d'auteur s'applique aux logiciels jusqu'aux années 1970. [Contexte nécessaire]
Par décisions de [contexte nécessaire], les constructeurs sont amenés à facturer séparément leurs logiciels au début des années 1970 ; en quinze ans, l'avènement de la micro-informatique va généraliser ce modèle et donner un essor aux éditeurs de logiciels qui s'orientent vers la vente de licences d'utilisation. A titre d'illustration, une lettre ouverte de Bill Gates aux hobbyistes, leur enjoignant de cesser de copier ilment les logiciels.
l'ac au code source des programmes a été restreint par le constructeur, comme en atteste la stratégie OCO, object-code only d'IBM à partir du début des années 1980. Il devient impossible, et dans certains cas t, d'étudier, de corriger ou d'améliorer les logiciels acquis. Non seulement l'utilisateur ne peut plus adapter le logiciel à ses souhaits, mais en cas de bug, il se retrouve dépendant du bon vouloir de l'éditeur du logiciel. Enfin, la copie, une opération naturelle pour un ordinateur, devient en règle générale te.