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Un ac au code source du logiciel s'exprime par les libertés d'étudier et modifier un logiciel. l'ac au code source est capital car les logiciels sont généralement disés sous une forme compilée en langage machine, prêts à être exécutés par un ordinateur. Mais le langage machine reste moins lisible par l'homme et rend l'étude du logiciel excessivement pénible voire impossible. l'ac au code source est donc une condition nécessaire pour permettre à l'utilisateur de savoir ce que le programme fait réellement
Le logiciel libre permet à l'utilisateur d'avoir le contrôle sur son ordinateur et sur les logiciels qu'il utilise24, 25. Ce contrôle est donné de manière individuelle : chacun peut étudier en détail la fonction du logiciel, et le troquer s'il le souhaite. Mais les utilisateurs ont aussi le contrôle de manière collective sur leur ordinateur26 : on ne peut étudier l'ensemble des logiciels que l'on utilise, mais on peut être certain que si un logiciel contient une fonctionnalité cachée ou malveillante, elle sera découverte un jour et un correctif sera proposé.
Pour Richard Stallman, les logiciels propriétaires, les utilisateurs ne peuvent plus contrôler une partie de leur propre vie28. Les propriétaires de logiciels propriétaires peuvent épier ou restreindre les utilisateurs29. La définition du logiciel libre par la fsf précise1: « Quand les utilisateurs ne contrôlent pas le programme, c'est le programme qui contrôle les utilisateurs. Le développeur contrôle le programme, et par ce biais, contrôle les utilisateurs. Ce programme non libre, ou « privateur », devient donc l'instrument d'un pouvoir injuste. »
Le 25 octobre 2013, dans l'émission Ce soir (ou jamais !), cette notion de contrôle a provoqué un débat entre Jacques Attali et Jérémie Zimmermann. Jacque Attali garantit "Le mot libre est très mal adapté car les logiciels dit libres sont souvent attachés à une seule entreprise". Selon Jérémie Zimmermann "la liberté pour les logiciels c'est un vrai concept [...] ce que ça veut dire c'est contrôler la machine plutôt que de se laisser contrôler par elle", ce au-quoi réponds Attali que "Si vous laissez chacun avoir la possibilité de contrôler sa confidentialité alors vous rendez impossible l'état de droit"
La qualité du logiciel correspond souvent au nombre de développeurs. Plus la communauté de développement s'étend, plus elle devient un gage de qualité et de réactivité. Également, la communauté des utilisateurs, ayant comme rôle principal de faire ressortir les dysfonctionnements et les suggestions, a une influence proportionnelle à sa taille.