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Le nom rétroingénierie, traduction littérale de l'anglais «reverse engineering» désigne l'activité qui se traduit par l'analyse d'un objet pour affecter un code au mécanisme interne ou à la formule de fabrication. Elle est aussi désignée sous les noms rétroconception, ingénierie inversée ou ingénierie inverse. Cette analyse est utiliser pour de nombreux buts: afin d'arriver à une utilisation appropriée, saisir le mécanisme de cet objet, de le rectifier, ou encore d'œuvrer une garantie à sa bonne marche; concevoir une çon sans passer par l'acquisition des plans et méthodes de fabrication, habituellement une activité ile diquement[réf. Nécessaire]; constituer un nouvel objet qui a les utilités semblables à l'objet original sans être menacé par le brevet; exercice de veille concurrentielle ou afin de repérer d'éventuelles infractions par rapport aux brevets, faire l'étude d'un objet créé par un concurrent. Suivant la nature de l'objet et de l'achèvement, on fait appel à des différentes méthodes et techniques. Afin d'en observer les éléments constitutifs, décomposer le système pourrait être une alternative. Cette dernière s'applique pour des objets concrets. Mais l'étude d'une boîte noire constitue le meilleur procédé en électronique et en informatique. Dans ce cas de figure, pour la définition des entrées et sorties actives, on soustrait l'objet à inspecter. Ensuite, suivant les variations du ou des signaux en entrée, on travaille pour évaluer la réponse du système. Depuis longtemps, elle s'attache surtout au domaine militaire. Comme dans l'Histoire de Polybe, les Romains, à cette période ils n'étaient qu'une puissance continentale, ont gagné le contrôle de toute la Méditerranée grâce à la capture d'une birème phénicienne, seulement 40 jours précédant la bataille de la pointe d'Italie. A partir de rien et en un temps record, les romains sont parvenus à construire une vraie flotte de combat approximativement composée de 80 navires en prenant comme modèle le procédé de standardisation employé par les carthaginois. Ils ont inséré différents améliorations comme le corvus qui est une espèce de passerelle d'abordage dotée d' un crochet de bronze en forme de bec de corbeau, s'introduisant parfaitement dans le pont du navire ennemi. Ensuite, quelques décennies plus tard, depuis la première bataille de Mylae en 260, les batailles navales s'étaient métamorphosées en affrontements d'infanterie. Cette transformation relevaient des perfectionnements sur les trirèmes, le xylokastron (château de bois) en proue, les balistes de marine, malgré leur début chaotique en raison de la modification du centre de gravité rendant dangereuse leur usage par mer agitée.