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Disted Component Object Model (abr. DCOM) est défini comme une technique propriétaire de Microsoft qui admet la communication entre des composants logiciels disés au sein d'un réseau informatique. À l'origine « Network OLE », DCOM étend COM et fournit le substrat sous l'infrastructure du serveur d'application COM+. Il a été rendu obsolète par Microsoft .NET.
l'ajout du « D » à COM provient de l'emploi intensif de DCE/RPC, plus clairement sa version Microsoft, connue sous le nom de MSRPC. En termes d'extensions ajoutées à COM, DCOM devait résoudre les èmes de :
Marshaling – sérialisation et désérialisation des paramètres et des valeurs de retour des appels de méthode à travers le réseau.
Ramasse-miettes disé - s'assurant que les références des clients des interfaces soient libérées
Un des facteurs importants de la résolution de ces èmes est l'utilisation de DCE/RPC comme le mécanisme RPC derrière DCOM. DCE/RPC renferme des règles strictement définies à propos de la sérialisation et de la responsabilité de la libération de la mémoire.
Les supporters de DCOM et CORBA les voyaient un jour devenir le modèle pour la réutilisation de code et de services sur Internet. Néanmoins les difficultés pour les faire cheminer à travers des pare-feu et sur des machines inconnues et non sécurisées, ont impliqué que des requêtes HTTP normales combinées avec des navigateurs web les ont supplantés. Microsoft a, à un moment, essayé et échoué de les amoindrir en ajoutant une couche de transport subsidiaire http à DCE/RPC appelée ncacn_http (Network Computing Architecture, Connection-based, over HTTP, littéralement : architecture de réseau informatique, basée sur des connexions, sur HTTP). Ceci fut rétabli plus tard pour supporter des connexions Exchange 2003 sur HTTP.
The Open Group renferme une implémentation surnommée COMsource. Son code source est libre, avec de la documentation complète, suffisante pour utiliser et implémenter une version interopérable de DCOM. D'après cette documentation, COMsource découle instantanément du code source de Windows NT 4.0, et inclut même le code source d'une base de registre Windows NT.
l'implémentation de DCOM a aussi été engagée par l'équipe Wine pour des questions d'interopérabilités : ils ne sont pas intéressés pour l'instant par le côté réseau de DCOM, fournit par MSRPC. Ils ne peuvent qu'implémenter la NDR (Network Data Representation ou représentation donnée en réseau) via l'API de Microsoft, mais promettent de la rendre aussi compatible que possible avec MSRPC.
j-Interop forme un arrangement LGPL de MSRPC en Java pur, qui appuie des applications clientes en Java sur toute plate-forme communicant avec des serveurs DCOM.