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En informatique, une routine évoque une entité informatique qui introduit une partie de code (une séquence d'instructions) réalisant un traitement spécifique correctement déterminé (asservissement, tâche, calcul, etc.), relativement indépendant du reste du programme et pouvant être réutilisé dans le même programme, ou au sein d' un autre. En conséquence, la routine est habituellement rangée dans une bibliothèque pour d'éventuels autres projets de programmation et l'intégrité de son implémentation est protégée.
Avec les routines, un ème est présenté en détails en procédant à la décomposition du programme à exécuter en parties de code qui sont plus faciles à produire, à organiser et à entretenir.
Les deux formes de routines ne sont implémentées que par certains langages de programmation et un mot-clé est retenu par les langages qui les implémentent afin de les distinguer durant leur déclaration.
Une convention appelée S-expression (ou expression symbolique) est établie pour représenter des données ou encore pour traduire un programme sous forme textuelle.Au sein de la famille de langages Lisp, incluant Scheme et DSSSL,les S-expressions sont utilisées .Elles sont également employées comme métalangage dans des protocoles de communication comme IMAP ou le langage CBCL (Common Business Communication Language) de John McCarthy. Dépendant du langage, les détails de la syntaxe et les types de données pris en charge se différencient , néanmoins la propriété la plus commune concerne l'utilisation de la notation préfixée parenthésée, familière sous le nom affectueux de Notation polonaise de Cambridge.
Un concept de conception de logiciels dénommé Software craftsmanship (ou l'« artisanat du logiciel ») accentue sur les aptitudes de codage des développeurs de logiciels en personne.
Aux difficultés répétitives de l'industrie du logiciel, y comprise la priorisation des préoccupations financières par rapport à la responsabilité du développeur, les développeurs de logiciels ont formulé leur réponse dans le Software craftsmanship qui représente un concept de développement de logiciels prenant comme base sur les aptitudes de codage de ces développeurs.
Un éventail de « bonnes pratiques » et leur description sont choisis par «Les standards Gnits» nommés également Gnits. Un petit groupement de mainteneurs du projet GNU collaborant la conception du système GNU ont écrit ces bonnes pratiques et elles ont été conservées jusqu'en mai 2007.D'une manière officielle, n'étant pas admises comme des standards du projet, ces préconisations sont notamment une référence nécessaire à l'introduction aux normes de codage GNU.
Toutefois, habituellement l'ensemble des programmeurs de logiciels libres portant sur les domaines des logiciels de la programmation, de la maintenance et de la distion, adoptent de plus en plus ces recommandations. Autotools a intégré dans son registre la majorité de ces « bonnes pratiques », selon les archives actuelles des « Gnits » .
Les mainteneurs, origines de ces recommandations, se nommaient le « gang nit-picker GNU » ,de l'anglais « GNU nit-picker gang ». Le mot anglais « nit » donne aussi bien le synonyme du terme « pou » ,« louse » en anglais,que le singulier du mot « poux », « lice » en anglais.