* Magento Quimper
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Dans les années 2000, les termes blog, wiki (en 2001, lancement de la Wikipédia en anglais) et réseautage social (Myspace en 2003, Facebook en 2004) gagnent considérablement du terrain. Le contenu généré par les utilisateurs se répand (Wikipédia, YouTube en 2005, Twitter en 2006). La technologie Ajax (1998, théorisée en 2005) se réveille pour créer des applications complètes qui tiennent dans une seule page web (Google Maps en 2004). l'expression Web 2.0, abondamment popularisée au milieu des années 2000, désigne cette transition dans le flux de l'information et la manière d'utiliser le web. Le triomphe de l'expression Web 2.0 a amené de nombreuses personnes à appeler Web 2.5, 3.0, 4.0, etc. leur vision du Web de l'avenir. 2007 indique la reprise de la technologie HTML5 par le W3C et sa standardisation à l'horizon 2014. En 2012, la majorité des moteurs de rendu HTML permettent d'exploiter ce standard et en 2013, la majorité des Système de gestion de contenu utilisent une base HTML5. HTML5 apporte la possibilité d'utiliser des vidéos et de l'audio dans les pages sans dépendre d'un format propriétaire, avec les normes MPEG-4, WebM et OggVorbis, d'utiliser assez de graphiques vectoriels avec l'utilisation de la norme SVG, de faire de la visioconférence avec webRTC25. Le développement de WebGL permet désormais d'utiliser des objets en trois dimensions dans les applications web avec une grande interopérabilité. Le format JSON traduit l'échange des données, en relations avec des bases ou des systèmes de fichiers, augmentant au passage les possibilités de référencement, et d'automatisation des taches entre les applications d'Internet. On rencontre l'expression Web 3.0 en futurologie à court terme pour désigner l'internet qui suit le Web 2.0 et forme l'étape à venir du développement du World Wide Web. Son contenu réel n'est pas défini de manière consensuelle, chacun l'utilisant pour désigner sa propre vision du futur d'internet. A en croire la société Incapsula en mars 2013, 50% du trafic web était proliféré par des bots, c'est-à-dire des machines robotisées. Cette étude revue (décembre 2013)26 révèle que ces mêmes machines représentent aujourd'hui près de 61% du trafic avec notamment une hausse du trafic des moteurs de recherche en hausse de 55%. Les opérations de hacking représentent environ 4.5% du trafic alors que les humains prennent environ 38.5%. De toutes les façons, plus du tiers du trafic est généré par les activités humaines. La cause réside probablement dans l'explosion du marketing qui représente à lui seul la moitié du trafic (bots et humains confondus).