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***Web2007 est un bureau indépendant situé à Genève et a l'habitude de travailler pour des entreprises PARTOUT en France et en Europe
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Imposition Après la réception des films ou les fichiers numériques de toutes les pages qui constituent l'ensemble de sa commande, l'imprimeur doit prévoir l'imposition, c'est-à-dire de disposer les pages par « cahiers ». Cette disposition particulière convient à son système en fonction de sa presse, du format, du nombre de pages, du pliage et du façonnage. l'imprimeur réalise parfois une épreuve de contrôle appelée aussi Ozalid afin de garantir la bonne séquence des pages et du pliage correct. Ce document sera plié et découpé afin d'en faire une morasse. Un polichinelle permet de contrôler l'imposition : petit papier au format A4 plié autant de fois qu'il y a de poses dans le cahier, comme un petit livret dont les pages sont numérotées. C'est dire que le polichinelle donnera le plan d'imposition. Fabrication des plaques En tant que forme imprimante d'un travail, les plaques d'impression peuvent être réalisées de deux façons : De manière habituelle, à partir des films fournis ou obtenus par la technique du flashage CtF. Directement d'après le fichier numérique réalisé par la technique CtP. Les films sont « copiés » par « insolation » sur la plaque offset métallique (zinc, aluminium, cuivre...) qui est ensuite développée par un processus chimique (ou à l'eau) identique à celui du développement des anciens papiers photographiques dans la méthode traditionnelle. « Bon à tirer » Article détaillé : Épreuve contractuelle. Au terme du travail de photogravure ou de PAO, lorsque la page intégrale est assemblée, les images et les textes établis et les couleurs adhésives, un contrôle est effectué au moyen d'une épreuve sur papier, d'abord dans un but interne pour vérifier le travail fini et pour soumettre également celui-ci à l'approbation du client. Celui-ci peut alors demander des retouches ou des modifications et une nouvelle épreuve devra lui être soumise. Le résultat satisfaisant amène le client à signer et dater cette épreuve qui devient le « bon à tirer » (« BAT »). Ce document incite alors le travail de l'imprimeur, la réalisation de la forme imprimante et sera son référentiel (l'étalon en quelque sorte). l'imprimeur devra se conformer à l'« image » de ce BAT tout au long du tirage. En réalité, le studio de création doit fournir cette épreuve au client, puis confiée à l'imprimeur une fois signée. Parfois, on demande à l'imprimeur de la fournir, mais cela ne doit pas être la règle, la création étant propriété (et responsabilité) de celui qui la réalise.
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Pour info, j'habite personnellement à Gaillard-Haute Savoie et mon bureau est juste à coté à Genève-Suisse.