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Une fonctionnalité proposée par certains langages de programmation est la définition d'opérateur qui permet d'utiliser des opérateurs (comme +, = ou ==) comme des fonctions ou des méthodes en les définissant pour de nouveaux types de données. Les opérateurs ne sont pas nécessairement des symboles. Parfois, la définition de nouveaux opérateurs est confirmée. Il s'agit généralement de sucre syntaxique, et peut facilement être émulé par des appels de fonction ou de méthode
Si les opérateurs forment des fonctions, on parle en général de surcharge d'opérateur, car l'implémentation est choisie en fonction du type des opérandes (on parle également de polymorphisme ad hoc). C'est notamment le cas en C++. Tous les langages permettant la définition d'opérateur ne souscrivent pas la surcharge. Python, par exemple, ne supporte pas la surcharge, mais permet de définir des opérateurs via des méthodes spéciales.
Les opérateurs deviennent plus essentiels qu'esthétiques comme avec l'opérateur to_s de Ruby, qui retourne une représentation chaîne d'un objet et avec les opérateurs de PostgreSQL, sur lesquels peuvent être définies des transformations mathématiques. PostgreSQL peut aussi employer de nombreuses optimisations sur les expressions qui utilisent ces opérateurs.
En théorie, la définition des opérateurs permet de faciliter l'écriture et la relecture du code.
Par exemple, on peut définir l'opérateur * pour exécuter des multiplications de matrices ou définir l'opérateur + pour additionner deux nombres complexes.
Aussi puissante qu'elle puisse être, la définition des opérateurs doit être toujours utilisée avec parcimonie pour ne pas perdre le lecteur d'un programme, d'autant plus qu'il est aisé de mal l'utiliser.
La surcharge et la redéfinition des opérateurs a été critiquée parce qu'elle peut surprendre le lecteur d'un programme, en autorisant le programmeur à donner à un même opérateur des fonctionnalités subtilement différentes en fonction des types de leurs opérandes.
La dégradation logicielle, désignée également érosion logicielle, est le déséquilibre entre l'architecture logicielle et son implémentation. Le vieillissement1 logiciel est également utilisé comme terme pour faire allusion aux défaillances rencontrées dans un logiciel au fil du temps2. Il semble impossible d'empêcher ce dit vieillissement mais il existe des moyens pour le ralentir, d'où l'intérêt des architectures logicielles.
l'architecture logicielle permet de présenter comment doit être inventé le logiciel pour répondre aux spécifications de celui-ci. l'adéquation logicielle doit correspondre au modèle d'architecture produit lors de la phase de conception. Dans la pratique, il n'est pas toujours certain de respecter cette règle. Les origines des décalages sont multiples, les principaux sont : l'évolution logicielle, les erreurs d'implémentations et les contradictions dans l'architecture envisagée qui ne pouvaient être prévues avant le développement. Il est possible de faire face à cette ématique en appliquant des concepts du génie logiciel.






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